Il s’est invité dans l’actualité cette semaine : le sable du Sahara, charrié par le vent, s’est abattu en masse un peu partout en France suite à des épisodes de précipitations pourtant très attendus. Du jaune dans le ciel, du jaune sur les voitures, du jaune au sol et jusque dans les piscines… impossible de l’éviter ! Et difficile de s’épargner ses nombreuses conséquences.
Difficile, mais pas impossible. Pour les voitures, dans un état terrible après ces pluies de sable, la solution est toute trouvée : le garage. Pour les terrasses jaunies également, il s’agit de résister à la tentation du nettoyeur haute-pression… Et pour les piscines ? FRANCE ABRIS vous offre ses petits conseils pour éviter les nombreux désagréments de cet invité saharien attendu au printemps.
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Le Sahara et son sable fin se sont invités cette semaine un peu partout dans l’Hexagone. Portées par le vent, ces poussières désertiques ont taché de jaune les villes et les campagnes… Comment éviter ce désagrément traditionnel au printemps ? Explications.
C’est un phénomène météorologique qu’on a l’habitude de voir au printemps. L’explication des spécialistes peut paraître absconse, elle permet tout de même d’y voir un peu plus clair :
Quand une dépression atlantique plonge vers le sud et se positionne sur la péninsule ibérique, un fort vent de sud à sud-est peut se lever sur le Maghreb, soulevant alors d’importantes quantités de poussières de sable en provenance du Sahara. Si le vent est suffisamment persistant et fort entre ces secteurs et la France, ces poussières sont alors advectées directement vers nos régions. Elles peuvent modifier la couleur du ciel et engendrer des dépôts au sol si des précipitations sont observées.
Un vent chargé de sable
En somme, une dépression venue de l’océan, du côté de l’Espagne, peut générer un vent important, ce fameux sirocco en Afrique du Nord, qui charrie le sable et ses poussières désertiques jusque dans l’Hexagone. Certaines photos sont très parlantes : en Espagne, il y a quelques jours, le ciel est devenu orange, baignant les paysages d’une lumière apocalyptique. Chez nous, ce vent a rencontré des pluies, ce qui a engendré de très importants dépôts de sable un peu partout, en ville comme en zone rurale.
Vous l’avez constaté en découvrant votre véhicule au petit matin… couvert d’une fine couche de poussière jaune ! Les terrasses ont également été maculées. Tout ce que vous avez pu laisser trainer dans le jardin a changé de couleur. Et votre piscine a, elle aussi, récupéré de belles quantités de sable. Autant vous dire que vous n’allez pas chômer dans les jours qui viennent…
Pour la voiture, une solution… l’abri garage en kit
Avec le printemps qui arrive, revient la saison des grands nettoyages. Dont celui de votre voiture ! Malheureusement, si vous aviez passé le week-end à la bichonner, vous l’avez peut-être retrouvée maculée de poussière après cet épisode saharien. Dans un premier temps, il va falloir la remettre en état. Premier conseil : ne vous précipitez pas dans votre station de lavage automatique. D’une part, ces pluies chargées de sable peuvent durer quelques jours. D’autre part, les rouleaux, en nettoyant les particules, peuvent être à l’origine de micro-rayures. On vous conseille donc, tout simplement, d’utiliser votre jet d’eau et une éponge non-abrasive. N’attendez pas trop avant d’offrir un premier nettoyage rapide à votre véhicule : si une nouvelle pluie de sable survient, vous aurez peut-être l’impression d’avoir travaillé pour rien… mais vous vous serez surtout épargné un nettoyage ultérieur beaucoup plus chronophage.
Plutôt que le nettoyage… choisissez le garage bois en kit !
Si cet épisode vous a convaincu de chercher une solution de protection pour votre voiture, on ne peut que vous conseiller un garage en kit. Le garage demeure, de toute façon, la protection la plus efficace contre un tel phénomène météorologique. A moins que vous n’optiez pour une bâche qui implique tout de même d’anticiper ces problèmes… Le garage en kit, qu’il soit en madriers de bois ou en acier, propose un confort d’utilisation optimal. On y stationne comme dans n’importe quel garage et on s’évite les importants frais de construction d’une structure en dur.
Les piscines aussi ont souffert…
Même si le mois de mars n’est pas forcément la période où l’on passe le plus de temps le nez dans sa piscine, nombreux sont ceux qui pratiquent un hivernage actif et prennent le temps d’entretenir leur bassin tout au long de l’année. L’objectif : que la mise en route de la piscine soit d’autant plus rapide au retour des beaux jours. Oui, mais voilà… Les pluies de sable sont passées par là. Si vous ne bâchez pas votre bassin pour mieux le surveiller, vous voilà avec des kilos de sable au fond comme sur vos parois. Une véritable plaie ! Un souci que vous rencontrerez même si vous utilisez une bâche à barre : à moins de nettoyer le sable accumulé sur la bâche très rapidement, il sera orienté vers les évacuations à la moindre pluie passagère, se retrouvant ainsi dans l’eau.
Un nettoyage manuel chronophage…
Certes, tant que l’eau reste en-dessous d’une dizaine de degrés, vous n’avez pas grand-chose à craindre. En revanche, dès que la température de l’eau va grimper, ces particules risquent de favoriser l’apparition d’une algue jaune, l’algue moutarde, qu’il est très difficile à faire partir. Votre objectif va donc être de les évacuer aussi vite que possible. Premier conseil : utilisez un floculant que votre filtration tolère pour rassembler les particules. Deuxième conseil : à l’aide de votre balais aspirateur, aspirez-les en les évacuant vers le tuyau de vidange… et non vers votre filtre, qui ne sera jamais suffisamment précis pour les retenir. Attention, soyez aussi efficace pour ne pas perdre trop d’eau ! Attendez ensuite quelques heures que les éventuels résidus retombent, avant de repasser un coup.
L’abri piscine télescopique, une piste pour vous soulager
Contre ce phénomène météorologique plutôt rare, bien que régulier, il n’y a pas grand-chose à faire. On ne monte pas un abri piscine pour contrer ce sable saharien… à moins de vivre en plein désert. La bâche à barres permet de retenir une bonne partie des particules, plus que ne le ferait un volet électrique. Mais, si vous voulez vraiment une solution de protection efficace, c’est un abri piscine qu’il faut envisager. FRANCE ABRIS propose des modèles télescopique qui couvrent complètement le bassin. Et qui le protègent ainsi non seulement du sable, mais aussi des feuilles à l’automne, du pollen au printemps et de toutes les petites nuées d’insectes qui ont tendance à s’inviter à la fête au bord de l’eau.
Et la terrasse ?
Si l’on prête surtout attention à la voiture ou à la piscine, votre extérieur peut avoir souffert de bien des façons. Pas le jardin, non, ces pluies de poussières l’alimentant en minéraux et ayant ainsi un impact plutôt positif sur son comportement futur. Mais la terrasse, plus probablement, notamment si elle est en lames de bois ou en composite. Le sable l’aura teintée de jaune et risque de se glisser dans ses petites rainures…
Évitez le nettoyeur haute-pression
Ce que l’on vous conseille : la nettoyer au jet d’eau et passer éventuellement un coup d’éponge. Pensez que le sable peut toujours générer des micro-rayures sur vos lames composite et qu’il vaut mieux l’évacuer rapidement ! Même si la tentation est grande d’utiliser un nettoyeur haute-pression au nom bien connu, on vous invite à réfréner vos envies de récurage en profondeur. Sauf à faire très attention à utiliser votre nettoyeur à distance respectable de vos lames de terrasse, la puissance du jet risque d’endommager la couche protectrice de vos lames bois. Les spécialistes le disent souvent : nettoyer une fois à haute-pression, c’est souvent s’imposer de nettoyer deux fois plus souvent ultérieurement.
Ménagez votre terrasse, elle n’en durera que plus longtemps !