Se garer ou stocker… ou les deux ? Aujourd’hui, c’est un de nos clients qui nous rappelle comment réussir l’installation de son abri. Sa recette ? Elle est simple : bien choisir son modèle initial, en l’occurrence une ossature bois monopente disponible sous la référence ID5357 sur notre site. Et définir un emplacement efficace, ce que sa propriété permettait.
Le résultat, c’est un abri polyvalent particulièrement bien implanté, qui met sa grande surface au service de notre client pour : 1/ garer des véhicules de tout gabarit ; 2/ entreposer et stocker du matériel à l’abri, et à proximité de la maison. Un ajout qui se marie très naturellement à la maison et valorise, sans aucun doute, cette dernière et son terrain.
Découverte.
Une ossature bois monopente superbement installée qui exprime à merveille toute sa polyvalence : stationnement et stockage !
Choisir soigneusement, précisément et rationnellement le bon modèle : c’est la première étape d’une installation réussie. Puis définir le meilleur emplacement. C’est parfois facile et naturel, d’autres beaucoup moins… Si notre client a remporté ce pari, c’est probablement parce qu’il s’est orienté vers une gamme d’abri très efficace : l’ossature bois. C’est donc une ossature bois monopente qui a su le séduire et qui fait son bonheur aujourd’hui. Disponible sous la référence ID5357, elle déploie sa grande et belle silhouette dans la continuité de la maison.
1/ Le choix du modèle : une ossature bois monopente de 40 m²
Notre client a bien choisi son modèle. C’est indéniable. En optant pour cette ossature bois monopente de 40 m², disponible sous la référence ID5357, il montre qu’il a bien cerné son sujet, bien étudié son terrain… et déterminé ce qui devait être le modèle idéal. Bien choisir son modèle, c’est initialement travailler à :
- établir une fourchette budgétaire précise ;
- savoir les usages que l’on prévoit pour son abri ;
- déterminer un emplacement pertinent en fonction de ces critères ;
- hiérarchiser les caractéristiques par ordre de préférence et de possibilité.
40 m², 8 m de largeur, 3 places de stationnement
Pour notre client, les critères sont assez clairs : un abri en bois, de qualité, solide et résistant, qui couvre une vaste surface. Là où les carports proposent habituellement une quinzaine de mètres carrés abrités, cette ossature bois monopente s’étale sur 40 m². Tout en longueur, elle offre 8 mètres de largeur pour 5 mètres de profondeur, tout en atteignant 4,23 m à son faîtage (et 2,73 m à sa panne sablière). Le bois est du Douglas, une variété intéressante pour les propriétés de son duramen, son bois de coeur. Ce dernier est imputrescible. On s’en sert donc pour les ouvrages extérieurs !
Impressionnant.
Une charpente assemblée par moisement
Sur son pignon avant, les quatre poteaux laissent trois places de stationnement accessibles. Ces poteaux et la charpente sont assemblés par moisement. Une charpente moisée est une charpente dans laquelle certaines pièces en enserrent d’autres, l’ensemble étant boulonné. C’est une technique différente de l’assemblage à tenon et mortaise que l’on retrouve souvent sur les charpentes bois traditionnelles. Dans le tenon-mortaise, les pièces ont des encoches, les mortaises, et l’on vient insérer les tenons d’autres pièces à l’intérieur.
Mais ce qui frappe, avant tout, avec cette ossature en kit, c’est cette splendide charpente monopente qui monte très haut à l’arrière et propose une pente de toit propre à faciliter l’évacuation des eaux et des saletés.
2/ L’emplacement : un espace que l’on dirait pensé pour !
Un bon abri perd toute son efficacité s’il est installé au mauvais endroit. Prenez l’exemple d’un garage pour la voiture de tous les jours, que l’on monterait au fond du jardin, sans accès aménagé… Ce ne serait plus un garage, mais un simple entrepôt, et encore… inaccessible. Bref, le choix de l’emplacement est stratégique.
Un choix parfaitement naturel
Pour notre client, ce choix a probablement été vite fait. L’ossature bois a pris position dans la continuité de la maison, dos à une partie de terrain en surplomb, protégée d’un côté par une façade latérale et alignée approximativement sur les mensurations du bâtiment. Résultat : la charpente épouse la forme de ce dernier et constitue une extension extérieure.
La dalle béton en prévision de l’usage de cette ossature bois monopente
On a coulé une dalle béton. Notre client aurait pu se contenter de graviers ou de concassé au sol, en prévoyant de simples plots bétons. Mais – et c’est là qu’il est essentiel de réfléchir à son projet en amont -, il avait déjà en tête de faire de cette structure un espace de stockage. Et pas uniquement de stationnement ! Or, si vous avez, par exemple, des planches de bois à entreposer, mieux vaut le faire sur une dalle, plutôt que sur le sol humide.
D’une manière générale, penser son emplacement, c’est aussi penser la protection qu’offre son environnement immédiat. Ici, du muret à l’arrière à la maison sur le côté, l’abri profite de belles protections complémentaires. Parfait pour limiter les agressions d’un vent trop fort, d’une pluie trop puissante et d’un gel agressif.
3/ Et l’installation : réussir le montage de sa charpente !
Et oui ! Le plus bel abri du monde, mal monté, aura bien du mal à faire parler ses qualités. Et, si l’installation d’une ossature bois monopente ne représente pas de difficulté particulière, mieux vaut être à deux ou trois personnes pour manipuler les lourdes pannes et les poteaux. D’autant qu’il s’agit, ici, d’un modèle de 40 m² !
Pas de Xylophène, mais un saturateur ou une lasure ?
Cette installation est souvent précédée d’une pénible étape : les traitements. Pour un abri en Douglas, les traitements de fond n’ont pas lieu d’être. En revanche, comme à chaque fois que l’on monte du bois, si l’on veut préserver sa teinte naturelle ou lui en offrir une autre, il faut en passer par deux couches de lasure ou de saturateur.
Choisir la meilleure couverture : une tuile qui fait plaisir !
Le rendu de notre client est superbe : il n’a certainement pas délaissé cette étape. En revanche, il lui en reste une dernière pour parfaire son installation… Et non des moindres ! La couverture. C’est la particularité des ossatures et charpentes en bois : il s’agit de squelettes qu’il vous revient de couvrir. L’avantage ? Un tel abri en bois peut accueillir bien des toitures différentes. Et même des tuiles !
