
Vous le sentez revenir progressivement… ce parfum de printemps ? Non ? C’est normal. C’est l’hiver et, même s’il y a, ici ou là, de petits redoux agréables et ponctuels, on ne risque pas d’oublier que le retour du soleil, des fleurs, de la verdure et des cafés en terrasse n’est pas pour tout de suite. Et pourtant, c’est tout de suite qu’il faut vous préoccuper de votre pergola bioclimatique. Il n’y a pas de meilleur moment que le mois de janvier, voire le mois de décembre, pour réfléchir à vos aménagements extérieurs. Et la pergola bioclimatique n’y fait pas exception ! C’est la raison pour laquelle on vous propose notre Top 5 des conseils pour bien la choisir.
5 points importants qui vont vous permettre de faire le bon choix dès maintenant. Et trouver la pergola bioclimatique la plus adaptée : à la fois à votre situation, à la fois à votre projet… et à votre budget !
5 conseils pour choisir la meilleure pergola bioclimatique avant l’arrivée du printemps : on vous dit tout !
C’est le moment de vous lancer ! Si vous voulez pouvoir profiter de votre pergola bioclimatique au retour des beaux jours, il n’y a plus à traîner. Et il faut agir :
- Prenez contact avec votre Mairie pour savoir, très vite, ce que vous allez devoir obtenir comme autorisation d’urbanisme.
- Lisez cet article pour bien choisir votre modèle de pergola bioclimatique.
- Choisissez votre pergola (sur notre site, bien entendu ! 😉) et appelez-nous pour vérifier les stocks.
- Faites votre demande de travaux ou constituez aussi vite que possible votre dossier de permis de construire.
- Passez commande.
- Finalisez le terrain : plots béton s’ils ne sont pas préparés, dalle s’il n’y pas de terrasse, terrasse si vous en voulez une… Bref, préparez-vous à la réception de la pergola !
- Patientez jusqu’à la livraison de votre abri.

Agissez dès maintenant pour éviter les soucis de délais… et profiter de votre pergola bioclimatique au printemps prochain !
Voilà pourquoi on vous invite à agir dès maintenant : il y a quelques délais incompressibles. Et, si vous voulez siroter votre café sous votre pergola courant avril, mai ou juin… vous savez ce qu’il vous reste à faire.
Mais trêve de bavardages, voici les 5 conseils dont vous devez tenir compte pour bien choisir votre abri bioclimatique !
1/ L’emplacement : la pergola bioclimatique peut remplacer vos volets
Une pergola bioclimatique efficace est, comme tout abri, une pergola bien positionnée. C’est une affirmation valable pour n’importe quel aménagement extérieur. Lorsqu’un abri est mal positionné, il manque d’ergonomie, il devient rapidement pénible au quotidien… aboutissant, bien vite, à une utilisation tronquée, inaboutie, voire de moins en moins fréquente. C’est la raison pour laquelle avant même de choisir votre pergola bioclimatique, on vous incite vraiment à définir très précisément l’emplacement que vous souhaitez couvrir et équiper. Là où vous voulez la placer. Réfléchissez-y, murissez votre décision, projetez-vous. Remettez en question vos certitudes si vous avez le sentiment que vous n’avez pas besoin d’y penser. Que sa place est toute trouvée.
C’est absolument essentiel.
La pergola bioclimatique peut remplacer des volets : elle ombrage la maison
Faites-le en tenant compte de ces deux différents aspects :
- La pergola bioclimatique, lorsqu’elle est proche d’une pièce à vivre de la maison, assombrit forcément cette dernière. Même lorsque les lames sont inclinées à 90°, elles projettent une ombre et la luminosité ne sera pas aussi intense que lorsque vous n’aviez pas d’abri.
- C’est aussi la raison pour laquelle elle permet, en été, de suppléer les volets. Plutôt que d’avoir à fermer les volets lorsqu’il fait trop chaud, on peut se contenter de fermer le toit de la pergola, tout en laissant les volets ouverts. Un moyen d’ombrager la maison, de limiter l’impact du soleil, tout en préservant la luminosité.

Si elle est autoportée et indépendante de la maison, attention à son exposition !
Évidemment, si vous n’avez pas prévu de la positionner près de la maison, ces aspects ont beaucoup moins d’importance. Mais l’emplacement reste un sujet de réflexion essentiel : l’exposition aura un impact énorme sur la manière dont l’ombre sera projetée au sol.
2/ Adossée ou autoportée ?
Voilà une question importante qu’il va vous falloir trancher. Voulez-vous une pergola bioclimatique adossée ou autoportée ? Les modèles adossés prennent appui contre la maison, venant s’ancrer à la fois dans la façade et dans le sol. Ceux qui sont autoportés, eux, se fixent dans le sol uniquement, leur poids supporté par leurs propres poteaux.
Que vous conseille-t-on ?
L’utilisation est fondamentale
Premier point : l’utilisation. Souvent, la pergola vient compléter la terrasse. On décide ainsi de la monter à l’endroit où se situe la terrasse. Le choix d’une structure adossée ou autoportée s’impose dès lors parfois… Si la terrasse est détachée de la maison, la pergola devra être autoportée. Si elle est contre la maison, elle pourra s’adosser à cette dernière. L’usage prévaut toujours : c’est lui qui fera l’utilité ou non de votre abri.
Si vous cherchez un grand modèle, la pergola adossée peut vous simplifier la vie d’un point de vue administratif
Deuxième point : les dimensions. Si vous voulez installer une pergola de grandes dimensions, par exemple de plus de 20 m² d’emprise au sol, le choix d’une structure adossée peut s’avérer intéressant. Pourquoi ? Parce qu’un abri adossé, lorsqu’il surplombe un quelconque accès à la maison, est généralement considéré comme une extension par le Code de l’Urbanisme et les différents PLU. Or, une extension tolère une simple déclaration préalable de travaux jusqu’à 40 m² d’emprise au sol. Ainsi, si vous choisissez une pergola bioclimatique adossée, vous pourrez probablement vous contenter d’une déclaration de travaux jusqu’à 40 m² d’emprise au sol.

Attention, les poteaux d’un modèle autoporté présentent un certain encombrement
Troisième point : les poteaux. Les pergolas bioclimatiques sont des structures assez lourdes, généralement en aluminium. Les poteaux sont souvent massifs. Si un modèle autoporté peut tout à fait se placer près de la maison, c’est tout de même un peu dommage : ses poteaux vont prendre une place regrettable et encombrer l’espace. Près de la maison, l’optimisation de l’espace sera bien meilleure avec un abri adossé.
3/ Une pergola bioclimatique motorisée ou manuelle ?
On ne va pas se mentir : très souvent, votre choix est déjà fait. Et la tendance est actuellement plutôt à la pergola bioclimatique motorisée. Il faut dire qu’elle est sympa, intéressante, agréable et ergonomique : un coup de télécommande et voilà vos lames qui s’inclinent ! Un gain de temps. De confort. Par toute saison : qu’il pleuve, qu’il vente, lorsqu’il faut adapter l’inclinaison, on préfère le faire avec sa télécommande de l’intérieur de la maison, plutôt que dehors, sous la pluie et dans le froid… n’est-ce pas ? 😉
La motorisation, c’est le confort, mais la manivelle, elle, ne risque pas de tomber en panne !
Mais réfléchissez-y quand même. La motorisation a du bon, c’est indéniable. C’est le progrès ! Mais vous aurez évidemment beaucoup moins de pannes avec une simple manivelle et un système manuel. En somme, si vous voulez le confort, choisissez la motorisation. Et si vous voulez plutôt un système qui fonctionne tout le temps et le plus longtemps possible sans réparation nécessaire, choisissez la manivelle. Rassurez-vous, les motorisations se réparent bien, d’autant qu’elles sont assez répandues. Mais c’est l’évidence : votre fidèle manivelle, elle, ne risque pas de ne pas fonctionner le jour où vous avez désespérément besoin de l’utiliser !
4/ Les lames : faites attention au clair de jour de votre pergola
On l’a dit plus haut, une pergola bioclimatique assombrira forcément la pièce à vivre près de laquelle elle sera située. D’autant plus si elle est adossée à la maison. En même temps… c’est une partie de son rôle et de son utilisation ! Et si vous installiez un abri terrasse fixe, l’ombre projetée serait encore plus importante et, surtout, permanente. Pour autant, il y a des paramètres auxquels vous pouvez faire attention pour préserver la luminosité.

Des lames perpendiculaires et aussi larges que possible
- Les lames de votre pergola bioclimatiques doivent être perpendiculaires à la maison, et non parallèles. L’ombre projetée en position ouverte ou partiellement ouverte sera moins importante.
- Plus les lames sont larges, moins elles sont nombreuses et plus vous préserverez votre luminosité. C’est ce qu’on appelle le clair de jour.
En résumé : choisissez une pergola bioclimatique avec des lames perpendiculaires à votre habitation. Et aussi peu nombreuses que possibles, donc plus larges.
5/ Pensez aux options de votre pergola bioclimatique en amont
Allez, un dernier conseil pour la route, qui devrait sonner comme une petite évidence. Si vous avez déjà regardé quelques modèles d’abris, vous avez sûrement remarqué qu’ils sont nombreux à proposer diverses options.
- Des stores latéraux, qui se dupliquent parfois sur tous les côtés de la pergola.
- Moustiquaires.
- Un éclairage Leds très sympa.
- Des moucharabieh à la fois décoratifs et brise-vue.
- Des systèmes de chauffage extérieur.
Vous voulez des Leds, des stores ou des moustiquaires ?
Préoccupez-vous de ces options dès maintenant. Pensez à ces ajouts à la commande. La pergola bioclimatique est un produit ciselé, technique. Ce n’est pas vraiment le genre d’abri que vous bricolerez facilement ultérieurement. Vous voulez des rideaux ? Demandez-nous immédiatement si l’on a des modèles avec des rideaux ou ce que l’on peut vous proposer comme protection latérale. Même chose pour la lumière.

Ces abris en kit ont l’avantage d’être beaucoup moins chers que les pergolas bioclimatiques sur mesure qui vous coûteraient, elles, 10, voire 20 000 euros. Mais ils se personnalisent plus difficilement.
On ne peut pas tout avoir, vous vous en doutez !